Baptisé « Aquila », le drone solaire de Facebook qui a l’envergure d’un Boeing 737 (soit un peu plus de 28 m) et ne pèse pas plus lourd qu’une voiture vient de réussir son premier test en vol dans le ciel du Royaume-Uni.
Mark Zuckerberg l’a annoncé dans la nuit de jeudi à vendredi sur sa propre page Facebook.
« Des appareils comme celui-ci aideront à connecter le monde entier, parce qu’ils peuvent servir à un coût abordable les 10% de la population mondiale qui vivent dans des communautés reculées, sans infrastructure internet existante », a-t-il argumenté dans ce message publié sur son compte Facebook personnel.
Mais il faudra sans doute attendre encore trois ou cinq ans avant que de tels drones géants soient opérationnels.
Il s’agit en fait de faire voler le drone au dessus d’une zone déterminée pendant plusieurs mois afin d’y transmettre un service Internet. Selon ses concepteurs, la transmission vers le sol, mais aussi entre les drones, se ferait par laser.
Les drones, dans l’esprit de Mark Zuckerberg, serviraient en quelque sorte d’antennes et auraient la même fonction que des satellites